Le Grau du Roi, 8 mai : Vincent, Pernen, Bartaveu, Galopin et les autres

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Une course sans prétention, avec une bonne entrée tout de même, et les présents ont encore une fois eu raison. En piste, ils sont huit mais deux se sont détachés par leur activité : Rassir à gauche et Ciacchini à droite. Les autres : Benafitou Ilias et Nabil, C Garcia, T Toureau, S Mebarek et N Oleskevich  (avec trois tourneurs), ont été des compléments sans plus.

Quand aux cocardiers, si nous n’eûmes pas de vrai barricadier – on peut se régaler sans – l’ensemble fut très agréable. Les taureaux furent plutôt dominateurs et c’est très bien ainsi. Il n’y en a pas un qui ait fait une grande prestation, mais celles des cités en titre valaient le déplacement.

Bartaveu (JC  Blanc)
Un premier qui a du mal à se fixer, mais qui ne refusera rien et représentera toujours un danger à la barrière. Tranquillement  il rentre se deux ficelles.

Level (Ricard)
Excellent placement, combatif, quelques refus mais il n’a qu’une seule ficelle et il la conservera.

Pernen (Le Pantaï)
Un grand bannu doté d’une excellente tenue de piste, qui pousse sur toutes ses réactions sans pour autant aller jusqu’au bout. Une bravoure souvent récompensée et ne cédant pas un pouce de terrain, il rentre ses deux ficelles.

Vincent (Félix)
Le costaud de l’après midi, sérieux, tenue exemplaire, un brin anticipatif, il va dominer les débats. A aucun moment les hommes ne le mettront en difficulté. Ilias Benafitou trébuche et subit la charge de Pernen (voir photos) et s’en tire avec une pointe à la main gauche.
Il rentre une ficelle.

Aramis (St Antoine)
Sérieux tant par son placement que par sa vista, brave car il ne faillira pas. S’il n’est pas dangereux à la planche, il faut toutefois passer la tête et ça c’est plus compliqué…car il anticipe. Il rentre ses deux ficelles sans problème.

Galopin (JC  Blanc)
Il fait monter la difficulté de la course. Pas de coup de barrière, mais il lui arrive de sauter. Il sera surtout puissant, vaillant, surveillant tout ce qui bouge, mais ça ne bouge pas beaucoup car seuls Ciacchini et Rassir s’y tentent et c’est bien peu pour l’inquiéter. Outrageusement dominateur, il rentre sa première ficelle à 1200€.

Dali (Ricard)
Encore un 7ème dont on pouvait se passer, d’abord parce que 7 c’est trop pour les hommes, sur cette course encore plus, il est hors points ce qui motive moins les raseteurs et il termine mal une course que Galopin aurait très bien fini…

 Emile Grande

 
 
 
 
 
 
 
   
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A propos de l'auteur :

Guy Roca